Lire sous la légende :
Photo#1 « Hitler en prison avec Maurice, Kriebel, Hess and Dr. Fredrich.”
Photo#2 « salle commune des prisonniers nazis à Landsberg. Derrière Hitler, Emil Maurice, compagnon des premiers jours et chauffeur. » [14]
La plupart des histoires de la Seconde Guerre Mondiale (voir surtout
The Rise and Fall of the Third Reich
de Shirer rapporte les liens d’Hitler avec l'homosexuel « notoire », Ernst Röhm et d'autres hommes dans sa coterie. Dans
The Pink Swastika
, il est noté, à tout le moins, que les lois sur le sexe sous Henrich Himmler, ministre de l’intérieur du Reich d’Hitler, étaient largement tolérantes vis-à-vis des « 2 millions » d’allemands qu’Himmler a déclaré avoir enregistrés dans des organisations homosexuelles en 1933, car « seuls les agresseurs récidivistes pouvaient être incarcérés. »
Les artistes et les acteurs homosexuels étaient aussi sains et saufs
Mais être « agresseurs récidivistes » signifiait avoir commis une quatrième infraction sexuelle publique ou quelqu'un qui avait déjà purgé six mois de prison pour des délits répétés. En 1940, Himmler a réitéré que seuls les « agresseurs récidivistes » (en grande partie impliqués dans des affaires sexuelles publiques) pourraient être emprisonnés.
Cependant, écrit Himmler, « les artistes et les acteurs » pourront échapper à toute pénalité, malgré la fréquence à laquelle ils se sont retrouvés impliqués dans des situations compromettantes.[15]
A l’époque Hitlérienne environ 70 millions d’Allemands [16], « moins de 1% » à peine un centième de tous les habitants du pays » étaient Juifs, a déclaré Hitler.[17] Morris Ernst, dans son livre sur Kinsey, a discuté des constatations de Hirschfeld :
L’Allemagne.... avec une population de 62 millions, comptait près d'un million et demi d'hommes et de femmes [a dit Hirschfeld] » dont la prédisposition constitutionnelle est en grande partie ou totalement homosexuelle». On ignore bien évidemment combien d’homosexuels allemands estimés à un million et demi ont endossé l’uniforme nazi. Mais un bon nombre d'entre eux ont été attirés par les principes nazis et la société de leurs camarades dans un lien qui excluait toutes les femmes (p. 169-170).
Selon Himmler, les rapports historiques suggèrent que l'Allemagne comptait peut-être 700 000 Juifs [18] contre 2-3 millions d'homosexuels « enregistrés ». Qu'ils aient eu un million et demi (Hirschfeld) ou 2 à 3 millions (Himmler), pas plus de 10 000 homosexuels allemands ont été envoyés dans des camps de travail, 6 000 sont morts et 4 000 ont été relâchés. Les 6 000 morts homosexuels sont un nombre restreint d'allemands qui auraient été des « fems », méprisés par l'élite homosexuelle au pouvoir ainsi que des groupes d'homosexuels qui étaient également Juifs, Italiens, Asiatiques, Noirs, Communistes, Marxistes et autres.
Sur 2-3 millions d'homosexuels, 6 000 « Fems » ou Rouges tués
Cela laisse encore des estimations de 20 000 prostitués de sexe masculin non comptabilisés, avec moins de 1% des homosexuels internés en grande partie dans des « camps de travail », et non pas, notent les auteurs, dans les « camps de la mort pour les Juifs et autres parias ».
Lively et Abrams soulignent l'effort des Nazis d’exterminer pratiquement 100% de tous les Juifs capturés, de toutes nationalités, gazés ou internés dans les camps de la mort.
La préoccupation particulière d'Hitler selon laquelle il fallait que les bons Allemands se reproduisent pour créer une nation aryenne ne doit pas être oubliée. Les Allemands aryens devaient se reproduire et il est bien connu que les usines allemandes de reproduction ont été établies à cette fin. Les homosexuels qui n'étaient pas allemands semblent avoir été sans intérêt pour les Nazis, car il n'y a aucune trace de la moindre tentative de chasser, d'arrêter ou de nuire aux homosexuels étrangers, pour quelque raison que ce soit.
Il est fortement probable que ces homosexuels allemands sélectionnés ont été tués pour des raisons politiques, contre 566 000 à environ 700 000 Juifs allemands (85%), 23,5% de tous les Gitans, 10% de Polonais, 12% d'Ukrainiens, 13,5% de Biélorusses.[19]
Le complot militaire allemand pour tuer Hitler a entraîné le meurtre de quelques hommes responsables, ainsi que de 7 000 des membres de leur famille. Les auteurs soulèvent des questions intéressantes, telles que : où est l’enregistrement des représailles de ceux qui ont caché, embauché, soigné et nourri les homosexuels persécutés ? Les propos de l'auteur sur la bataille entre les « Butch » contre les « Fems », qui fait rage entre les homosexuels allemands et l'effet de cette guerre interne prétendument liée aux « livres brûlés » et autres facteurs similaires répondent à de nombreuses questions cruciales.
Elie Wiesel : les gardes homosexuels faisaient la traite des garçons Juifs
Dans
The Rise and Fall of the Third Reich, (La montée et la chute du troisième Reich), Shirer déclara qu’Hitler a accueilli « des meurtriers, des proxénètes homosexuels pervers, des toxicomanes ou tout simplement de simples délinquants. » [20] En fait, même Shirer éluda la nature effrontément homosexuelle des pionniers du parti nazi - un ensemble de connaissances essentielles pour toute société aspirant à une existence civilisée. Les auteurs citent plusieurs millions d’homosexuels nazis de type « Butch » qui travaillaient comme gardes et directeurs de camps de la mort et de travail pour hommes et femmes. Elie Wiesel, le célèbre survivant de l'Holocauste, a déclaré avoir été témoin de gardes homosexuels et d'administrateurs qui « gardaient » et violaient les jeunes garçons juifs à volonté, « Il y avait un trafic considérable parmi les homosexuels ici, ai-je appris plus tard. »[21]
Lively et Abrams rapportent que les calculs mathématiques élémentaires réfutent l'idée selon laquelle les homosexuels aient été tués parce qu’ils étaient homosexuels. Car si les homosexuels avaient été traités comme des Juifs, 2-3 millions d'homosexuels allemands auraient dû perdre leurs entreprises, leurs emplois, leur propriété, leurs possessions et la plupart auraient dû perdre la vie.
Les homosexuels auraient été obligés de porter des triangles roses sur leurs vêtements dans les rues, ils auraient eu leurs passeports estampillés avec un « H », interdit de voyage, de travail, de faire des courses, d’apparitions publiques sans brassard, et nous aurions eu des milliers de photos de graffitis de « triangle rose » disant « Tuez les pédés, » etc.
Où les 2 millions homosexuels allemands sont-ils passés ?
Si les homosexuels allemands n'étaient pas des Nazis, ces 2-3 millions d'hommes auraient été sans abri, murés dans des ghettos, ils auraient constitué une force de travail de masse, puis auraient été gazés et leurs mauvais traitements enregistrés de manière détaillée sur des graphiques comme cela a été fait pour des millions de Juifs. Et, si plusieurs millions de « gays » allemands n'étaient pas victimes des Nazis, ils étaient alors des soldats nazis, des collaborateurs ou des meurtriers.
Interrogeant le général SS Jurgen Stroop et un policier allemand, Moczarski, Kazimiers [22]
rapporte la présence continue des homosexuels dans la hiérarchie nazie.
Un policier bien au fait de la « composante homosexuelle allemande [a parlé et dit qu'ils] gardaient des fichiers sur tous les pédérastes connus et potentiels. Il remarqua que très peu d'homosexuels dans le NSDAP étaient traités de manière aussi « indélicate » que Röhm... » Alors peut-être quelques-uns des pédés dans le parti ont été éliminées. Il y en avait beaucoup d'autres qui en fait, s’en sont très bien sortis. Ils sont restés des membres actifs du parti…, ils ont obtenu des promotions .... [et ont été] protégés par le sommet du parti travailliste allemand, le parti national socialiste. »
Les Troupes d’Assaut SA et la Gestapo ont été formés selon ce que les auteurs appellent l'idéal grec « hellénistique » de la pédagogie de l'homme et de la jeunesse. Préoccupé par l'aspect homme-garçon de l'homosexualité, la
Pink Swastiska relie les points pour les lecteurs depuis la structure du pouvoir homosexuel en Allemagne à l'actuel débat social aux États-Unis.
Les auteurs notent que les défilés des « droits des homosexuels » de San Francisco, nus et copulateurs, les violents incendies de bâtiments par des homosexuels lorsque le gouverneur Peter Wilson a refusé les droits des minorités homosexuelles, les attaques brutales contre le cardinal O'Conner et l'ancien ministre de la santé Louis Sullivan, et bien d'autres encore, sont une répétition des homoérotiques nazis.
Nos propres recherches sur l'hétérosexuel versus le
Langage de sollicitation des partenaires homosexuels
(The Advocate versus The Washingtonian), comme on l'a noté plus tôt, trouve régulièrement des hommes et des garçons photographiées dans le chic fasciste dénudé, se pavanant avec une casquette noire style Luftwaffe, fouets et bottes de cuir noir - le sadisme fasciste.
Alors que Lively et Abram citent au moins 160 organisations d’anciens homosexuels qui considèrent que les abus sexuels, les négligences et les traumatismes dus à l’abus d’autorité sont des facteurs déclencheurs de comportement homosexuel, il est donc évident qu’un modèle fasciste à l’image de l’après-seconde guerre mondiale se profile dans les écoles américaines sous couvert de « Prévention du sida » et de la protection des « jeunes homosexuels », contrôlés en grande partie par des militants homosexuels adultes.
Parallèlement à ces activités subversives, par le biais des médias, de l’éducation public et la justice, on tente de « faire divorcer » les enfants de leurs parents, en peignant un portrait de l’existence homosexuelle comme fatale et solitaire sur fond d’héroïsme et de victimisation (le privilège du mariage est une offense récente) sapant la survie de l'Amérique, porte-drapeau du standard international de l'ordre moral judéo-chrétien.