SOUTENIR LA TRADUCTION DE LIVRES MAJEURS
"Les paroles s'envolent, les écrits restent"
Vous voulez faire un don
pour soutenir un projet de traduction
VOUS ÊTES UN LECTEUR, UN PARENT, UN ENSEIGNANT, UN PROFESSIONNEL... et vous voulez soutenir nos projets de traductions pour participer à la diffusion d' études importantes pour protéger les enfants efficacement et les fondements de notre société.
Tous les livres que nous traduisons sont des livres QUI DOIVENT ÊTRE LU pour comprendre:
LA RACINE DES PROBLÈMES DE NOTRE SOCIÉTÉ
LES SOLUTIONS
LIVRE # UN
Du Français à l'Anglais
RESUME
Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, , au travers de « l’éducation à la sexualité », ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme. Elle décrypte ici les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » au travers de la transgression sexuelle des enfants et adolescents. Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, sur la base d’une contagion délirante qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit.
Ainsi, aussi incroyable que cela puisse paraître, toute la « déclaration des droits sexuels » est fondée sur un sophisme manipulant l’opinion publique en ayant faussé le raisonnement logique.
Ce sophisme, on le retrouve maintes fois dans ces différents textes, par exemple dans les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe :
« La sexualité des enfants est beaucoup plus large que celle de l’adulte moyen. Elle peut être considérée comme un aspect du développement de la sensualité qui fait partie, elle, du développement psychologique, social et biologique de tout individu. »
Les professionnels de santé psychique de l’enfance et de l’adolescence seront heureux d’apprendre aussi, entre autre exemples, que l’enfant « fantasme beaucoup » entre 7 et 9 ans, notamment « sur le fait d’être amoureux d’un enfant du même sexe », ou qu’à « 10 ans » les enfants « commencent à s’intéresser à la sexualité des adultes » et « fantasment sur la sexualité » des adultes, ou encore qu’entre 16 et 18 ans, « ils savent plus clairement s’ils sont hétérosexuels ou homosexuels » et affinent leur « carrière sexuelle », qui passe généralement par les étapes suivantes : « s’embrasser, se toucher et se caresser tout habillés, se caresser nus, rapport sexuel complet (hétérosexuel) et, finalement, sexe oral et parfois anal. »
L’enfant aurait donc une sexualité, et elle serait « beaucoup plus large que celle de l’adulte moyen »…
Ce serait d’ailleurs la raison pour laquelle il faudrait absolument « commencer l’éducation sexuelle avant l’âge de quatre ans », où seront enseignés aux enfants de 0 à 4 ans : « la reproduction », « la masturbation » (oui, vous avez bien lu, entre « 0 et 4 ans »), « le plaisir lié à un contact physique », les « identités sexuelles », entre autres.
En résumé, l’intégralité de cette « déclaration des droits sexuels » est fondée sur un sophisme, c’est-à-dire un raisonnement faux. Si ce n’est pas intentionnel, ce n’est pas rassurant de la part de l’OMS, donc de l’ONU (dont l’OMS est une branche spécialisée), en termes de compétences. Si c’est intentionnel, c’est inquiétant en matière de perversion, de la part de l’OMS, de l’ONU et des dirigeants français qui acceptent une politique de « prévention » fondée sur un sophisme ! Lequel sophisme a pour conséquence d’entraîner un pervertissement des mœurs de la société, et d’encourager à la libre pratique sexuelle des pédophiles. p 76-77
LIVRE # DEUX
Du français à l'anglais
CHRONIQUES DU TOTALITARISME
Ariane Bilheran
Dans cette compilation de chroniques sur le totalitarisme, écrites au cours des deux dernières années, Ariane Bilheran développe en détail les caractéristiques de l'avènement insidieux des régimes totalitaires.
« Nous avons poussé si loin la logique dans notre politique sanitaire au nom de la santé pour tous, que nous persécutons les soignants, médecins et infirmiers, et les malades. Notre nouvelle définition de la santé est l’indifférence au consentement, le refus des soins adaptés et de la prescription par les médecins. Nous soignons les bien-portants (nous nommons malades des gens qui ne le sont pas) et délaissons les vrais malades. Le corps de chaque citoyen appartient désormais à l’État qui peut en jouir comme bon lui semble pour ses expérimentations médicales, et celui qui ne s’y soumettra pas, nous le négligerons, le maltraiterons puis le tuerons, qu’il s’agisse d’un malade qui désirait être soigné, ou d’un soignant qui désirait travailler », pourra tout aussi bien dire un haut cadre repentant du nouveau parti du totalitarisme sanitaire actuel.
Le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet 2021 a opéré comme un coup de semonce dans la société française. Le pouvoir s’y est exprimé de façon tyrannique, clivant la société en deux catégories : les bons citoyens obéissants, et les autres. Sur les autres, la coercition sera exercée ; le pouvoir entend « soumettre ou démettre ». Nous nageons en plein harcèlement de masse, et je rappellerai la définition que j’en avais donné en 2006 : « Le harcèlement est un phénomène politique lié à l’histoire de l’humanité. Il "vise la destruction progressive d’un individu ou d’un groupe par un autre individu ou un groupe, au moyen de pressions réitérées destinées à obtenir de force de l’individu quelque chose contre son gré et, ce faisant, à susciter et entretenir chez l’individu un état de terreur" (Bilheran, 2006). Mode d’expression de l’abus de pouvoir, de l’autoritarisme, de la tyrannie, il s’oppose à l’autorité comme le pouvoir injuste s’oppose au pouvoir juste. Il est la méthode parfaite d’asservissement utilisée par les paranoïaques dont je dis souvent qu’il est le "chef-d’œuvre"[1]. »
Le régime totalitaire vise « la domination totale » (H. Arendt), c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[1].
L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels (familles, classes sociales, clans politiques) selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi (ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique). La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien, « tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle – données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives – étaient traités comme irréels » (p. 18). C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[2], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michel, pour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.
LIVRE # TROIS
Du français à l'anglais
PSYCHOLOGIE DE LA PARANOÏA
Ariane Bilheran
Ce livre s'adresse aux professionnels, mais aussi à toute personne désireuse d'en savoir plus sur cette pathologie.
Il vise essentiellement à fournir des outils sémiologiques efficaces pour les critères diagnostiques. Il vise, une fois pour toutes, à clarifier la différence fondamentale entre les délires de persécution dans la schizophrénie (appelés délires paranoïaques) et les délires paranoïaques.
Il entend expliquer les modes de contagion du délire, de la fascination paranoïaque, mais aussi lever le voile sur les liens entre paranoïa, social, politique, groupe, masse.
La paranoïa est une pathologie mentale bien singulière, comparable à nulle autre, pour plusieurs raisons. La première est qu’elle échappe souvent au diagnostic, par son caractère de « folie raisonnante » qui lui donne une apparence de normalité. La deuxième est qu’elle engendre tellement de craintes inconscientes que l’on préfère ne pas la nommer, pour lui substituer injustement le concept de perversion, alors qu’il existe une profonde différence de degré, voire de nature, entre les deux, quand bien même il y aurait des similitudes et des alliances.
La troisième est que cette folie crée le réel par son langage, et que la nommer reviendrait à la faire exister. Pour autant, elle est la plus fascinante des pathologies, car elle semble capable de réécrire un monde complètement illusoire, auquel le plus grand nombre parvient à adhérer. Ce pouvoir d’emprise, de capture psychique, d’aliénation est l’un des grands talents de la paranoïa.
La paranoïa est la pathologie qui, de tout temps, à quelques exceptions près, a dirigé le monde et crée les tyrans. En inversant la rationalité, les émotions, les rôles, la paranoïa en elle-même a de quoi rendre fou. D’ailleurs, est souvent accuse de paranoïa celui qui la dénonce ! Distinguer de quoi il en retourne nécessite beaucoup de rigueur, d’analyse, de précision. Et surtout, de claret d’esprit.
Cet ouvrage s’adresse aux professionnels, mais également à toute personne désireuse de mieux connaitre cette pathologie. Il vise, en particulier, à donner des outils sémiologiques efficaces poru les critères diagnostiques. Il entend, une fois pour toutes, bien informer sur la différence fondamentale qui existe entre le délire de persécution dans la schizophrénie (dit délire paranoïde) et le délire paranoïaque. Il désire expliquer les modes de contagion du délire, de la fascination paranoïaque, mais aussi lever le voile sur les liens entre la paranoïa, le social, le politique, le groupe, la masse.
Les critères du DSM IV
D’après le manuel international de psychiatrie DSM-IV, la paranoïa présente les symptômes suivants :
« A. Méfiance soupçonneuse, envahissante envers les autres, dont les intentions sont interprétées de manière malveillante, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présente dans divers contextes, comme en témoignent au moins 4 des 7 manifestations suivantes :
– Le sujet s’attend sans raison suffisante à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent
– Il est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés
– Le sujet est réticent à se confier à autrui car il craint de façon injustifiée que l’information soit utilisée de manière perfide contre lui
– Le sujet discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins
– Il garde rancune, c’est-à-dire qu’il ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné
– Il perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation auxquelles il va réagir par la contre-attaque ou la colère
– Il met en doute de façon répétée et sans justification la fidélité de son conjoint ou de son partenaire sexuel
B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie, d’un trouble de l’humeur avec caractéristiques psychotiques ou d’un autre trouble psychotique et n’est pas dû aux effets psychologiques directs d’une affection médicale générale.
La croyance organisatrice de la paranoïa est :
Il faut être sur ses gardes/on ne peut pas faire confiance aux gens/je ne dois pas me laisser faire. »
Il convient de noter que le DSM IV entretient la confusion entre schizophrénie et paranoïa, entre délire schizo-paranoïde et délire paranoïaque, et que cette confusion est présente aux États-Unis depuis plusieurs années voire même deux ou trois décennies, pour le plus grand dommage de la compréhension clinique et psychopathologique. De fait, comme nous le verrons infra, le schizophrène est bien souvent la victime du paranoïaque, indépendamment d’ailleurs du fait que le délire de persécution n’a rien à voir dans sa forme ni même dans son contenu, ainsi inclure dans le terme « paranoid » le délire de persécution schizophrène et le délire de persécution paranoïaque relève d’une erreur grave dans le raisonnement clinique.
Par ailleurs, il faut relever que la dernière version internationale du DSM V a supprimé de sa classification « la personnalité paranoïaque », comme si cette pathologie se normalisait peu à peu.
La Psychologie de la Paranoïa aux éditions Armand Colin
LIVRE # QUATRE
De l'anglais au français
RESUME
Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, , au travers de « l’éducation à la sexualité », ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme. Elle décrypte ici les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » au travers de la transgression sexuelle des enfants et adolescents. Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, sur la base d’une contagion délirante qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit.
Ainsi, aussi incroyable que cela puisse paraître, toute la « déclaration des droits sexuels » est fondée sur un sophisme manipulant l’opinion publique en ayant faussé le raisonnement logique.
Ce sophisme, on le retrouve maintes fois dans ces différents textes, par exemple dans les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe :
« La sexualité des enfants est beaucoup plus large que celle de l’adulte moyen. Elle peut être considérée comme un aspect du développement de la sensualité qui fait partie, elle, du développement psychologique, social et biologique de tout individu. »
Les professionnels de santé psychique de l’enfance et de l’adolescence seront heureux d’apprendre aussi, entre autre exemples, que l’enfant « fantasme beaucoup » entre 7 et 9 ans, notamment « sur le fait d’être amoureux d’un enfant du même sexe », ou qu’à « 10 ans » les enfants « commencent à s’intéresser à la sexualité des adultes » et « fantasment sur la sexualité » des adultes, ou encore qu’entre 16 et 18 ans, « ils savent plus clairement s’ils sont hétérosexuels ou homosexuels » et affinent leur « carrière sexuelle », qui passe généralement par les étapes suivantes : « s’embrasser, se toucher et se caresser tout habillés, se caresser nus, rapport sexuel complet (hétérosexuel) et, finalement, sexe oral et parfois anal. »
L’enfant aurait donc une sexualité, et elle serait « beaucoup plus large que celle de l’adulte moyen »…
Ce serait d’ailleurs la raison pour laquelle il faudrait absolument « commencer l’éducation sexuelle avant l’âge de quatre ans », où seront enseignés aux enfants de 0 à 4 ans : « la reproduction », « la masturbation » (oui, vous avez bien lu, entre « 0 et 4 ans »), « le plaisir lié à un contact physique », les « identités sexuelles », entre autres.
En résumé, l’intégralité de cette « déclaration des droits sexuels » est fondée sur un sophisme, c’est-à-dire un raisonnement faux. Si ce n’est pas intentionnel, ce n’est pas rassurant de la part de l’OMS, donc de l’ONU (dont l’OMS est une branche spécialisée), en termes de compétences. Si c’est intentionnel, c’est inquiétant en matière de perversion, de la part de l’OMS, de l’ONU et des dirigeants français qui acceptent une politique de « prévention » fondée sur un sophisme ! Lequel sophisme a pour conséquence d’entraîner un pervertissement des mœurs de la société, et d’encourager à la libre pratique sexuelle des pédophiles. p 76-77
Pr.Judith Reisman
Ariane Bilheran
Le professeur américain Judith Reisman a exposé la fraude scientifique et les crimes commis contre les enfants au nom de la science, qui ont servi de base à la révolution sexuelle, aux changements de lois (qui protégeaient auparavant les femmes et les enfants) et des comportements humains dans le monde entier. L'ensemble de son ouvrage devrait être traduit en plusieurs langues et étudié très sérieusement par les universiatires du monde entier.
Ariane Bilheran, docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne, élève de l'Ecole Normale (ULM Paris), spécialisée en psychopathologie, paranoïa, harcèlement, science morale et politique. Auteur de 30 livres. Elle pourrait être appelée la Hannah Arendt des temps modernes. La qualité de son travail et de ses analyses nous éclaire sur les dérives de notre société, aiguise nos raisonnements et propose des solutions pour rétablir des liens humains sains.
NOTRE TRAVAIL N'EST FINANCÉ QUE PAR DE GÉNÉREUX DONATEURS
QUI ONT COMPRIS L'IMPORTANTE DE DIFFUSER INTERNATIONALEMENT
LE TRAVAIL D'EXPERTS AYANT DE L'ETHIQUE
ET L'URGENCE D'AGIR POUR PROTÉGER LES ENFANTS
ET LES FONDEMENTS DE NOTRE SOCIÉTÉ.
VOS DONS SERONT UTILISÉS POUR PAYER
VOUS CONTRIBUEREZ À:
Merci pour votre généreuse participation.
Notre travail est financé par vous,
pour votre intérêt et celui des enfants.
"Archange Saint Michel, défends-nous dans le combat, sois notre protection contre le mal et les pièges du diable. Que Dieu le condamne, nous le prions humblement, et toi, ô Prince du monde céleste, par la puissance divine de Dieu, jette en enfer Satan et tous les esprits malveillants qui errent dans le monde pour détruire les âmes. "
Prière à Saint Michel